J'ai trouvé la réponse !!!

Voilà donc depuis que je joue à GW je suis sidérée par notre capacité à nous comprendre malgrè nos nombreuses fautes (dues majoritairement à la vitesse de frappe) qui rendent souvent nos phrases un chouilla ésothériques ...

J'ai enfin la réponse, lisez la suite

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Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas

un mtos n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que

la pmeirère et la drenèire soit à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte

dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porlblème.

C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe,

mias le mot cmome un tuot.

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NB : N'y voyait surtout pas une ode à la méthode globale de l'enseignement national qui a fait que nombre d'enfants ne sauront jamais écrire leur nom de famille ...

C'etait juste pour dire un ti truc et animer la section divers sans devoir crier à la traîtrise (oups un coup bas ... )

ok j'ai tuot copmris^^

Merci pour cette minute culturelle..
Je me suis surpris à lire tout le texte d'un coup et en en comprenant la totalité..

Citation :

C'etait juste pour dire un ti truc et animer la section divers sans devoir crier à la traîtrise (oups un coup bas ... )

Si c'est une provocation...

... ma plume est douce, mais elle peut être tranchante...

C'etait seulement pour voir si tu nierais le sujet passionnant (bon d'accord ...) de ce message pour n'en garder que la dernière ligne ou si tu discuterais un peu du fond (pour la forme) pour en venir à la seule chose qui t'interpelle dans ce message.
ça c'est de la provocation ...

>> C'etait juste pour dire un ti truc et animer la section divers sans devoir crier à la traîtrise (oups un coup bas ... )
ça c'est peut être de la taquinerie, la provocation eut été :
>> C'etait juste pour dire un truc et animer la section divers sans devoir crier à la traîtrise comme d'aucun ...



L'ensemble de ce message est taquin vu qu'il aborde ce grave sujet de manière badine. Et nous le savons tous on ne badine pas avec les choses graves ...

Cela dit le sujet n'est pas vraiment grave plutôt (pas le chien de mickey l'autre) teintée d'une importance relative ... et là je crie halte à la dérive !!!



Je suis contre le relativisme qui déshumanise les concepts sociaux et notament ceux de la morale, du bien et du mal en circonstanciant leurs cadres d'application ... Cela tend à juger l'intention au lieu du fait et donc à gommer les barrières sociales garantes de l'équilibre de nos société.

Bilan si le bien et le mal n'existe plus, ou presque, quelle différence faire entre la provocation et la taquinerie on se le demande ? aucune idée en fait ...
Moralité est il bien ou pas d'avoir lu tout cela pour arriver à cette fadaise de phrase alembiquée ? Non car globalement ce message tend à un nihilisme intellectuel fait de rebonds sans queue ni tête qui tend à la dérision ... or tu as négligé cette piste vorpi !

En effet , n'est-il pas dérisoire de me poser la question (à moi qui ne suis pas partie prenante pour un pouillème du sujet traité) de la manière dont tu dois interpréter mon propos Vorpi ? je ne sais que dire ...



Fondamentalement ta démarche entend une réaction de principe et donc tu as très probablement interprété la provocation où elle n'etait peut être pas, mais alors ... à quoi sert de désarmer une bombe ayant déjà explosé !



Par ailleurs en restreignant le champ des choix que tu m'offres tu canalises et formates ma réponse à mon détriment (genre quelle est ta couleur préférée bleu / bleu clair / bleu foncé) Je réclame ma libre interprétation de mes propres dires !!!

Car tout compte fait une alternative et une menace qui gomme un des choix en fait tu ne me laisses réellement pour seule réponse acceptable que la taquinerie ... or à quoi sert une question à choix multiple disposant d'une seule option de réponse ?

Moi j'aurai qualifié mon propos d'humouristique à tendance décalée vaguement hermétique mais dénué d'arrière pensée mais je n'ai pas trouvé cette proposition dans tes choix alors je suis embarassée.



Est-ce que je peux prendre le temps d'y réfléchir ?
(A tous ceux sont arrivés là je dis bravo !!!)

ça confine au sophisme tout ça ... (le sophisme n'est pas l'art de s'appeler sophie ... )

ref je réfléchis et on en reparle.

Shashina [FOA] a écrit:

C'etait seulement pour voir si tu nierais le sujet passionnant (bon d'accord ...) de ce message pour n'en garder que la dernière ligne ou si tu discuterais un peu du fond (pour la forme) pour en venir à la seule chose qui t'interpelle dans ce message.

Tu me vois flaté de tant de solicitude... Vraiment, ce message n'était destiné qu'à moi afin de me tester ? Pour préciser les choses, à propos du fond (sous toute ses formes) je connaissais cette étude et n'ai pas souhaité faire etalage du fait par simple modestie. Ne restait donc plus que la dernière phrase...

Citation :

>> C'etait juste pour dire un ti truc et animer la section divers sans devoir crier à la traîtrise (oups un coup bas ... )
ça c'est peut être de la taquinerie, la provocation eut été :
>> C'etait juste pour dire un truc et animer la section divers sans devoir crier à la traîtrise comme d'aucun ...

Je m'inscris en faux quant à cette pâle tentative de demonstration (par l') absurde... "(oups un coup bas...)" n'est pas moins évocateur d'un propos ciblé, dans le contexte, que l'expression "comme d'aucun"...

Citation :

Je suis contre le relativisme qui déshumanise les concepts sociaux et notament ceux de la morale, du bien et du mal en circonstanciant leurs cadres d'application ... Cela tend à juger l'intention au lieu du fait et donc à gommer les barrières sociales garantes de l'équilibre de nos société.

Enfin, Sha... il est des concepts qu'on ne peut définir que par leur opposé. N'entrons pas dans un débat philosophique sur le thème du bien et du mal, simplement les notions de "haut" et de "bas". Sans relativisme, tout est à la même hauteur parceque rien n'en possède... C'est bien plutôt une absence de relativisme qui conduirait au sacrifice de la morale sur l'autel obscurantiste de la rigidité, voir de l'extrémisme...

Citation :

Bilan si le bien et le mal n'existe plus, ou presque, quelle différence faire entre la provocation et la taquinerie on se le demande ? aucune idée en fait ...

Sans doute arrives-tu trop facilement à cette conclusion d'absence de bien et de mal...

Citation :

Moralité est il bien ou pas d'avoir lu tout cela pour arriver à cette fadaise de phrase alembiquée ? Non car globalement ce message tend à un nihilisme intellectuel fait de rebonds sans queue ni tête qui tend à la dérision ... or tu as négligé cette piste vorpi !

Que néni, ma mie... :-)

Citation :

En effet , n'est-il pas dérisoire de me poser la question (à moi qui ne suis pas partie prenante pour un pouillème du sujet traité) de la manière dont tu dois interpréter mon propos Vorpi ? je ne sais que dire ...

Tu demeures seule juge de tes intentions véritables. L'interprétation que j'en fait, bien sur, m'est propre... néanmoins, en posant la question, j'ouvre la possibilité d'un choix...

Citation :

Fondamentalement ta démarche entend une réaction de principe et donc tu as très probablement interprété la provocation où elle n'etait peut être pas, mais alors ... à quoi sert de désarmer une bombe ayant déjà explosé !

"probablement", "peut-être"... tout celà ne présagerait-il pas d'un manque de conviction ?

Citation :

Par ailleurs en restreignant le champ des choix que tu m'offres tu canalises et formates ma réponse à mon détriment (genre quelle est ta couleur préférée bleu / bleu clair / bleu foncé) Je réclame ma libre interprétation de mes propres dires !!!

Le champ des choix possible à une question fermée est assez restreint, certes, mais il n'en demeure pas moins au moins 2 solutions... Toutefois, tu as tout l'art d'ouvrir les questions, au forceps, s'il est besoin :-)

Citation :

Car tout compte fait une alternative et une menace qui gomme un des choix en fait tu ne me laisses réellement pour seule réponse acceptable que la taquinerie ... or à quoi sert une question à choix multiple disposant d'une seule option de réponse ?

Propos fallacieux... c'est toi qui exclu l'une des possibilités. Il n'est pas de situation qui ne dicte qu'une seule option possible. A la croisée des chemins, il est toujours au moins deux routes, et parfois l'une d'entre elles est plus ardue plus raide et moins carrosée... elle n'en demeure pas moins une voie... Il est toujours un choix, pourvu qu'on soit prêt à en assumer les conséquences.

Citation :

Moi j'aurai qualifié mon propos d'humouristique à tendance décalée vaguement hermétique mais dénué d'arrière pensée mais je n'ai pas trouvé cette proposition dans tes choix alors je suis embarassée.

Bien entendu, il va de soit qu'en fermant la tournure de ma question, et nonobstant l'humour que j'avais bien sûr saisi dans ton propos, il s'agissait de te répondre sur le même ton, somme toute du berger à la bergère (bien étranges moutons..) sous la forme d'un défi. Que voilà le gant si bien relevé... :-)

Citation :

ça confine au sophisme tout ça ... (le sophisme n'est pas l'art de s'appeler sophie ... )

Ha oui, là, on a fait fort...

"Et c'est une bonne situation ca, Scribe??

Ooooh vous savez je ne pense pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Je dirais tout d'abord que mon métier, c'est tout d'abord des rencontres,...Des gens qui m'ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j'étais seul chez moi.............. Peut-être seulement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi..."
"



ou encore :


Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... bien des choses en somme...
En variant le ton, -par exemple, tenez:
Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champs que je me l'amputasse !"
Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap !"
Descriptif : "C'est un roc !... c'est un pic !... c'est un cap !
Que dis-je, c'est un cap ?... C'est une péninsule !"
Curieux : "De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîtes à ciseaux ?"
Gracieux : "Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ?"
Truculent : "Ca, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ?"
Prévenant : "Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol !"
Tendre : "Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane !"
Pédant : "L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampelephantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !"
Cavalier : "Quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode !"
Emphatique : "Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral !"
Dramatique : "C'est la Mer Rouge quand il saigne !"
Admiratif : "Pour un parfumeur, quelle enseigne !"
Lyrique : "Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf : "Ce monument, quand le visite-t-on ?"
Respectueux : "Souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue !"
Campagnard : "Hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain !"
Militaire : "Pointez contre cavalerie !"
Pratique : "Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot !"
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot:
" Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître !"
- Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.

Et j'ai tout lu (sa devient inquietant) bref ...

Heu, je m'abstiens de tout commentaire qui pourrait passer pour une réponse bien trop simple et courte...

J'ai l'impression que certaines personnes n'appliquent pas les recommandations pour la canicule : il faut s'hydrater et ne pas rester la tête au soleil, sinon, les idées commencent à devenir très confuses. Allez hop! Un panaché pour toute le monde!

......La fmemle de lrie ...Puet-erte un artue juor...

Préambule à la lecture :

Il n'y a pas de brouille entre moi et vorpi. Ce message part d'un délire que d'aucun ont pris au pied de la lettre. M'ayant répondu sérieusement sur le terrain glissant du ridicule je m'attèle au difficile exercice de justifier d’un propos injustifiable.

Le gant m’ayant été jeté sur cette base je relève le défi de structurer une réponse à Vorpi (sans écriture grasse et rouge) qui puisse à minima donner le change … Un bel éventail à venir de mauvaise foi et d’usage (parfois calamiteux) du verbe.


Acte I :
VORPI :
Tu me vois flaté de tant de solicitude... Vraiment, ce message n'était destiné qu'à moi afin de me tester ? Pour préciser les choses, à propos du fond (sous toute ses formes) je connaissais cette étude et n'ai pas souhaité faire etalage du fait par simple modestie. Ne restait donc plus que la dernière phrase...

Si tu avais été "simplement" modeste tu te serais passé de mentionner ta connaissance du sujet et tu n'aurai pas généralisé mon propos à tout le message. En effet seule la dernière Phrase t'est adressée vorpi ... Qui plus est, peut-on jamais se flatter d’être testé Vorpi ?
Bien essayé cela dit … ton message se lit de manière fluide on y croirait J


Acte II
VORPI :
Je m'inscris en faux quant à cette pâle tentative de demonstration (par l') absurde... "(oups un coup bas...)" n'est pas moins évocateur d'un propos ciblé, dans le contexte, que l'expression "comme d'aucun"...

Absurde ! rooooo ... Pour peu sérieux que soit ce propos il n'en reste pas moins loin de l'absurde (ou de ces démonstrations par ailleurs). Le langage étant subjectif j’attire ton attention sur les éléments contextuels d’une discussion qui en font varier le sens … Dès lors créer la proximité ou dépersonnaliser un propos n’est pas neutre … hein machin(1) ?


Acte III :
VORPI :
Enfin, Sha... il est des concepts qu'on ne peut définir que par leur opposé. N'entrons pas dans un débat philosophique sur le thème du bien et du mal, simplement les notions de "haut" et de "bas". Sans relativisme, tout est à la même hauteur parceque rien n'en possède... C'est bien plutôt une absence de relativisme qui conduirait au sacrifice de la morale sur l'autel obscurantiste de la rigidité, voir de l'extrémisme...

Vorpi … Tu t’égares je parle du concept de la morale relativiste et non pas de la relativité des valeurs morales. En bref le jugement moral d’un acte s’établit-il dans l’absolu ou doit-il intégrer les éléments conjoncturels et culturels (voire religieux, politiques etc. etc.).


Acte IV
VORPI
Sans doute arrives-tu trop facilement à cette conclusion d'absence de bien et de mal...

C’est bien de l’avoir vu … mais dommage de l’avoir dit … Vorpi m’enfin … c’est une lapalissade tellement énorme que je m’étonne encore de ton sérieux à ce stade de mon message …


Acte V
VORPI
Que néni, ma mie... :-)

Si tu me rappèles ne serait-ce qu’une fois mamie tu vas m’entendre !
Et point ici de « que néni » ! aurais-tu trouvé à l’articulation (qui vire à l’arthrite) de mon message plus de sens que je n’en ai mis pour me contredire ainsi … Vorpi … tu as contredit jusque là tout ou presque de ce que j’ai écris et en grande partie à raison alors pourquoi ne pas abonder dans mon sens quand je prétends que ce message n’a ni queue ni tête ? Attention Vorpi à na pas passer de la critique à la contradiction !


Acte VI

Moi :
En effet , n'est-il pas dérisoire de me poser la question (à moi qui ne suis pas partie prenante pour un pouillème du sujet traité) de la manière dont tu dois interpréter mon propos Vorpi ? je ne sais que dire ...
VORPI
Tu demeures seule juge de tes intentions véritables. L'interprétation que j'en fait, bien sur, m'est propre... néanmoins, en posant la question, j'ouvre la possibilité d'un choix...

Euh … Vorpi t’abuses …
Ca sent le placebo en guise de commentaire ! une évidence puis deux (j’assis mon discours sur du vrai) puis paf une contre vérité ! Quel proposition de choix me donnes-tu si tu as déjà une interprétation « propre » sur le sujet ?
Bilan tu me sollicites non pas pour te forger une opinion sur le sujet mais bien pour juger de ce que j’en pense. C’est pas bien, non non non, pas bien du tout de camper sur ses positions en simulant des ouvertures rhétoriques.


Acte VII
VORPI
"probablement", "peut-être"... tout celà ne présagerait-il pas d'un manque de conviction ?

Non, non pas de conviction, de présomption ! faute de savoir je n’affirme pas …


Acte VIII
VORPI
Le champ des choix possible à une question fermée est assez restreint, certes, mais il n'en demeure pas moins au moins 2 solutions... Toutefois, tu as tout l'art d'ouvrir les questions, au forceps, s'il est besoin :-)

Merci, j’en prends le compliment.


Acte IX
VORPI
Propos fallacieux... c'est toi qui exclu l'une des possibilités. Il n'est pas de situation qui ne dicte qu'une seule option possible. A la croisée des chemins, il est toujours au moins deux routes, et parfois l'une d'entre elles est plus ardue plus raide et moins carrosée... elle n'en demeure pas moins une voie... Il est toujours un choix, pourvu qu'on soit prêt à en assumer les conséquences.

Hum … Le tout étant dans ce beau discours imagé d’arriver à une croisée de chemin, moi je roulais tranquille sur le rail tout droit de ton interprétation « propre » supposée quand j’ai vu poindre une question fallacieuse qui disait « oui / non ? » mais si oui gare (« tout le monde descend terminus »), le non lui nous emmenait sereinement à « jesuistoutcontentville »



Voilà pour aujourd’hui … il n’y aura pas d’acte X pour les personnes mal pensantes … non mais …

A tout ceux qui douterait des dégats que peut porter l’instrumentalisation de la linguistique je dédie ce message …

(1) si tu es choqué par le sobriquet c’est que ta fibre profonde abonde dans mon sens

Heu Odin je pourrais avoir un petit panaché s'il te plait, j'en ai mal a la tete las dis donc !!

God , c'est pas un panaché qu'il te faut ! Je dois bien avoir un vieux fond d'alcool distillé clandestinement..Attends je regarde ..
Mais en même temps je te rassures , on est pas nombreux à y comprendre quelque ( euh oui..là ca donne l'impression que j'ai compris mais en fait c'est pas le cas !), hormis Tess qui j'en suis sur maitrise son sujet et sait très bien où elle va . Je peux même t'affirmer que Vorpale ( le dragueur pseudo-philosophe) ne dois comprendre pas un traitre mot des phrases qu'il aligne...
PS: Vorpale si tu te sens offensé , téléphone moi , on se fait une bouffe et on se fait un petit duel pour le dessert ..

Et aller hop : hum c fit d bien eri mon brave, encor une petite goutte roo trop bon